Souvent sans qu’on s’en aperçoive, nos relations de travail sont traversées par des dynamiques invisibles. Nos besoins, nos peurs, nos blessures, nos contraintes, nos croyances… influencent nos comportements, nos interactions, et façonnent la manière dont nous coopérons. Cela peut se traduire, chez certains, à certains moments, par : du contrôle ou de la retenue des réactions émotionnelles vives des difficultés à dire non, à poser ses limites de la méfiance, du jugement, du retrait un sentiment de solitude, d’agacement ou de perte de sens Bien sûr, chacun peut cheminer sur soi-même. Et beaucoup le font. Mais on ne peut pas attendre de chaque collaborateur qu’il entreprenne une démarche personnelle approfondie, ni transformer l’entreprise en espace de thérapie. 👉 Il existe une autre voie, plus directe, plus collective : travailler sur la qualité des interactions.